lundi 26 avril 2010

Les burqas



Nos élus sont en train de plancher pour ou contre la burqa… Il y a du travail car, à première vue, on ne reconnaît personne… et tout le monde s’y perd dans cette mascarade.
Je me suis toujours amusé – et je m’amuse toujours – en me déguisant en toutes sortes de personnages, mais je me suis toujours arrangé que l’on finisse par me reconnaître…
Avec la burqa, ce n’est pas le cas ! Les personnes qui se cachent derrière ce voile opaque n’ont, a priori, pas l’intention qu’on les reconnaisse. Mais qu’ont-elles à cacher ? Pourquoi veulent-elles se faire remarquer en voulant… ne pas être reconnues ? Peut-être, derrière ces voiles, y a-t-il de très jolies femmes… Je comprendrais mieux ce déguisement si elles n’étaient pas d’une première beauté… Et encore...
Mais si elles ne veulent pas être vues, pourquoi ne restent-elles pas entre leurs quatre murs chez elles et ne laissent-elles pas leurs « maris » faire les courses… Eux sont bien visibles et on les reconnaît sans aucune difficulté…
Bon, mon petit coup de « mauvais » caractère ne s’arrête pas qu’à cette burqa féminine…
Il y a une autre burqa qui m’interpelle… La burqa automobile… Oui, plus on avance dans le temps plus on s’aperçoit que les voitures sont "voilées"…


Dans un temps pas très loin, il avait été question d’interdire – déjà – le pare-soleil sur la lunette arrière de la voiture car cela empêchait de voir les voitures qui précédaient cette voiture… car comme tout bon conducteur digne de ce nom, ce n’est pas seulement la voiture qui nous précède qu’il faut surveiller, mais aussi les précédentes…
De nos jours certaines voitures ont encore un voile léger… et l’on peut voir au travers, avec quand même une certaine difficulté…

Mais que dire pour toutes ces voitures qui sont maintenant complètement « burqanée », ces voitures qui ressemblent plus à des corbillards, avec des occupants que l’on ne peut absolument pas distinguer – probablement ce qu’ils recherchent – mais que l’on se demande si le conducteur, à une intersection, nous a vus, nous voit… Car ce qui est vraiment essentiel, à un céder le passage, à un stop, à une priorité à droite ou à gauche, c’est de voir si l’on nous voit, mais comment voir dans des vitres fumées… ?
Mais je me demande pourquoi ces occupants se cachent derrière ces vitres ? Qu’ont-ils à cacher ? Veulent-ils ne pas être reconnus, ne pas montrer ce qu'ils transportent...
Il est certain que ça les regarde, mais, pour ma part, j’aimerais voir au-delà de leur voiture, et ce qu’il peut y avoir à l’intérieur de leur automobile ne m’importe peu…
Il n’empêche que le parallèle avec la burqa humaine et la burqa automobile finit par se rejoindre… : Je me cache derrière un voile, de plus en plus opaque, car je ne veux pas être reconnue, je veux vivre sans être vue…
Pour terminer, et ceci est vraiment ce que je ressens quand je vois une femme en burqa et une voiture en corbillard… : C’est bien dommage pour la première d’être jeune et être obligée de se cacher derrière un voile pour je ne sais quelle raison et de ne voir de sa part aucun sourire si tant elle en a envie, et pour la seconde, la voiture, ce qui est quand même moins grave… baissez les vitres, laissez-vous admirer par les autres… si vous n’avez rien à cacher, et ça nous aidera à voir si vous nous avez vus.
Ce petit mot est vraiment ce que je pense, mais il ne veut pas dire que j’ai raison sur tout. Mais que ça fait du bien de pouvoir dire ce que l’on pense dans notre République… qui je suis sûr, du moins j’espère de tout cœur, ne mettra jamais le voile pour être toujours bien vue et reconnue.

jeudi 8 avril 2010

"ENVIRONNEMENT...SALE"

Et voilà un beau petit coin entre Dreux et Vernouillet… Un « affluent » de la Blaise coule tranquillement tout autour de jardins ouvriers… Cet affluent passe sous la ligne Paris-Granville… Dommage que ce train ne puisse s’attarder pour contempler ce petit coin… Il est vrai que la mer appelle tous ces voyageurs qui ne demandent qu’à respirer…

A première vue, ce coin de verdure, vu de face, invite à s’arrêter pour regarder les vaches dans le pré, écouter les oiseaux gazouiller…

Mais après avoir apprécié cette vue tranquille, l’horreur nous frappe de plein fouet, après avoir tourné la tête.Ce petit coin tout tranquille sert aussi, entre autres, à certains, pour venir manger des repas que les clients sont allés acheter dans des « restaurants » que l’on appelle rapides, des plats à emporter dans des sacs en papier avec des contenus en plastique… Jusque-là rien d’anormal … Si ces clients apprécient cette « nourriture »… Ok ! ou Yes ! Ce n’est que leur goût et leur droit…

Mais après s’être « restaurés », tous ces clients de McDo (pour ne pas le nommer) et autres maisons qui servent des plats à emporter eh bien ! laissent sur place les emballages, les virent dans ce petit ruisseau, les mettent en plein milieu du lieu si charmant…


Non seulement ils laissent tous les emballages de leur repas, mais après s’être bien restaurés, laissent aussi leurs besoins nécessités après ce repas « solide » et pendant qu’on y est, la cerise sur le gâteau, l’enveloppe du préservatif, ce qui n’est pas encore trop grave (car cette enveloppe est beaucoup plus discrète que les sacs de McDo), mais en plus le (ou les) préservatif ayant servi traîne parmi tous ces déchets…

Je me demandais ce qu’il fallait faire pour endiguer cette profusion de déchets et ces sacs de McDo qui arrivent en tête de toutes les enveloppes de repas à emporter qui jonchent le sol de notre commune ?

Peut-être :

1) Ramasser ces sacs et le reste de leur continu et allez les retourner à l’envoyeur… sur le parking du MacDo ?

2) Demander à McDo d’embaucher des chômeurs pour ramasser tous les détritus que ses clients dispersent dans tous les coins les plus retranchés et même en ville ?

3) Que McDo ne cesse de rappeler et encore rappeler de ne pas laisser les enveloppes de la « nourriture » dans la nature ?

4) Ou alors, mettre une amende, pour chaque sac retrouvé sur la place publique, à ce McDo qui pollue (2 euros par sac le ferait réfléchir vue la quantité qui est laissée dans tous les endroits… de la ville et des villes environnantes…)

Je ne sais pas quelle solution choisir…

Toutefois, j’en ai quand même une… : que ces utilisateurs fassent montre de civisme… et repartent avec leurs ordures, mais je crois que c’est croire au Père Noël…

Donc, la solution, c’est d’aller voir McDo en lui disant : Ok ! pour les repas à emporter, mais pour tous sacs jetés sur la voie publique cela vous coûtera tant… Peut-être que ça marcherait…

En tous cas, il faut faire quelque chose ! s'il en est encore temps !